S’il hante les scènes depuis 5 ans, Pierre Theunis n’est pas inconnu dans le monde de la variété et de l’humour.
Artiste liégeois bien connu, l’ancien propriétaire du Music-hall, le cabaret désormais fermé de la cité ardente, est avant tout un musicien et un humoriste de talent.
Il a mis la clé sous le paillasson pour créer ses propres shows musicaux.
Fini d’orchestrer pour les autres, il crée pour lui-même et pour le plaisir d’un public amateur de musique et de rire.
Il base son spectacle sur la relation privilégiée, une sorte de complicité affectueuse et comique, qui inclut le public et le fait participer activement au show.
Il va, avec Angelo Crisci à la batterie, Jean-Pol Furnémont à la guitare, Emilio Raponi à la basse, Christian Pastore aux claviers, nous faire voyager dans le temps et dans la musique.
De Mariano à un hommage à Pierre Rapsat, d’un clin d’œil à Michel Dardenne à une plaisanterie sur Johnny à Charleroi pour interpréter aux édiles communaux Les Portes du pénitencier,
Il revisite les paroles, il chantonne, il fredonne, il semble s’amuser pour l’instant suivant montrer toute l’amplitude d’une voix chaude et profonde.
Musicien accompli, s’il lui a fallu, dit-il, trois ans, un par côté, pour apprendre le triangle, au piano il laisse entrevoir un doigté précis et magique dans un medley rock digne de
Il se met ensuite avec l’orchestre à jouer au juke-box et donc de répondre aux demandes du public : Villard, Aznavour, Clerc, Madonna, tout y passe dans un melting-pot généreux et tordant où les paroles et les riment se culbutent dans une improvisation assez délirante.
A son orchestre se joint son amie de cœur Betty La Ferrara, une voix mélodieuse et puissante qui en duo avec Pierre Theunis fait littéralement vibrer la salle sur l’air Un amore così grande.
Le Music-hall, façon Pierre Theunis n’est jamais tout à fait le même.
Tous s’adaptent chaque jour au public et à l’humeur-humour du jour, pour vous proposer un show de variété de grande classe.
Hommages, satires, parodies, musiques et chansons s’enchaînent sans répit avec pour maître de cérémonie un artiste accompli, une voix d’or assez extraordinaire et un boute-en-train brillant.
Muriel Hublet
Spectacle vu le 10-10-2007
Le Fou Rire
Présentation du spectacle :
Résumé : « Pierre c’est la main gauche de Ray Charles, la droite de Jerry Lee Lewis, les cordes vocales de Dario Moreno timbrées de celle de Michel Fuguain ; l’humour de Francis Blanche servi par la fantaisie d’Henri Salvador ; la tendresse de Bourvil sous l’énergie de Gilbert Bécaud. » De Luis Mariano à Queen en passant par la "Rue Cathédrale" extrait de la comédie musicale bien connue "Notre Dame de... Blegny", Pierre Theunis fait vivre sa passion du cabaret sur scène en passant du rire au rock'n'roll, à la chanson française et bien d'autres encore !
S’il hante les scènes depuis 5 ans, Pierre Theunis n’est pas inconnu dans le monde de la variété et de l’humour.
no à un hommage à Pierre Rapsat, d’un clin d’œil à Michel Dardenne à une plaisanterie sur Johnny à Charleroi pour interpréter aux édiles communaux Les Portes du pénitencier, 
« Pierre c’est la main gauche de Ray Charles, la droite de Jerry Lee Lewis, les cordes vocales de Dario Moreno timbrées de celle de Michel Fuguain ; l’humour de Francis Blanche servi par la fantaisie d’Henri Salvador ; la tendresse de Bourvil sous l’énergie de Gilbert Bécaud. »
